Le projet PHYTAIR, initié en 2004 par le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB-OQAI) et soutenu financièrement par l’ADEME, les Conseils Régionaux du Nord – Pas de Calais et des Pays de Loire, le CSTB de Nantes et les fonds européens FEDER, a permis d’étudier en autre les capacités d’épuration par les plantes.
Bien que le projet ait conclu que les plantes ont le pouvoir de capter des polluants en laboratoire, il insiste sur le fait que ces mêmes plantes ont des qualités épuratrices peu efficaces en milieu réel d’exposition. De plus, certaines plantes peuvent avoir un impact sanitaire pour certaines personnes allergiques.