Il a été possible de mettre en évidence l'importance relative des caractéristiques du bâtiment et de la saison d'échantillonnage sur les concentrations des divers polluants de l'air intérieur. Le type de bâtiment et l’emplacement géographique affectent principalement la température intérieure, l’humidité relative et la concentration en formaldéhyde. Les autres polluants dépendent de manière non systématique de différentes caractéristiques du bâtiment à différents degrés.
Cette étude a montré que la variance de la quasi-totalité des polluants atmosphériques intérieurs étudiés peut être expliquée par leurs concentrations extérieures et la présence d'occupants humains et de leurs activités connexes plutôt que par les caractéristiques du bâtiment.
La publication de LANGER (2015) (disponible dans la section "Liens utiles" ci-dessous) nous donne plus de détails sur les outils mis en œuvre et les résultats.
Découvrez également le rapport de la première campagne nationale Logements dans la section "téléchargements".