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CAMPAGNES

Etat de la QAI dans les écoles et les bureaux

Les écoles et les bureaux performants en énergie présentent des spécificités de qualité d’air intérieur

L’exploitation des données collectées dans les bâtiments à usage d’enseignement et de bureaux a été réalisée en 2017 sur un échantillon de petit taille composé de 17 bâtiments tertiaires (69 pièces investiguées) : 4 bâtiments d’accueil de la petite enfance (24 pièces investiguées), 5 écoles (12 salles de classe investiguées) et 8 immeubles de bureaux (33 pièces de bureaux investigués). Les COV présentant des concentrations médianes supérieures à 5µg/m3 sont quasi-systématiquement les trois aldéhydes (acétaldéhyde, formaldéhyde, hexaldéhyde) et les deux terpènes (alpha-pinène et limonène).

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Une école performante en énergie / Crédit ADEME PREBAT

Un immeuble de bureau performant en énergie / Crédit ADEME PREBAT

Une contamination fongique active invisible

La présence de moisissures visibles est rare (une seule pièce parmi les 69 investiguées) alors que 36% des pièces des bureaux et 64% des pièces des lieux d’accueil de la petite enfance présentent une contamination fongique active. Aucune contamination fongique active n’est observée dans les pièces des écoles. Comparativement aux études de grande ampleur ou bien représentatives des trois catégories de bâtiments visés, il apparaît que les concentrations mesurées sont semblables ou inférieures. En revanche, les écoles BPE se distinguent quelle que soit la période de mesure par des concentrations en styrène plus élevées et les bureaux BPE par des concentrations plus élevées en hexaldéhyde, acétaldéhyde et alpha-pinène.